La Sécurité Sociale possède une école nationale supérieure destinée au vivier des cadres dirigeants de l'institution

La Sécurité Sociale possède une école nationale supérieure destinée au vivier des cadres dirigeants de l'institution

L’école nationale supérieure de la Sécurité Sociale – En3S dans le jargon – est destinée à ceux qui veulent pénétrer et travailler dans les hautes sphères de l’institution. Ainsi, les candidats intéressés peuvent encore s’inscrire pour la prochaine session de formation, les futurs cadres dirigeants se préparent à affronter les cours, seuls les meilleurs auront une place.


Chaque année, deux concours, l’un interne et l’autre externe, ouvrent les portes de l’école nationale supérieure de la Sécurité Sociale aux plus ambitieux. La promotion 2013, en préparation, accueillera 58 élèves chanceux, qui auront rempli les conditions d’admission. Futurs cadres dirigeants de l’institution, ils doivent se préparer et justifier d’une expérience solide.


Ainsi, il faut montrer patte blanche si l’on peut dire, pour intégrer ce concours de l’école nationale supérieure de la Sécurité Sociale. Seuls les titulaires d’une licence, ou d’un diplôme équivalent français, d’un titre – ou grade – délivré par l’un des Etats de l’Union européenne et reconnu équivalent ou supérieur au premier diplôme cité seront retenus. Ces derniers ont jusqu’au 29 mars pour tenter l’aventure et s’inscrire.


Pour arriver bien armé au concours, le site de l’école nationale supérieure de la Sécurité Sociale recense tous les centres de préparation, sans oublier les rapports de jury, ou bien encore, le recueil des copies 2012 et enfin, toute la bibliographie nécessaire à étudier. Devenir l’un des cadres dirigeants de cette institution nationale n’est pas une mince affaire, certes, mais ceux qui ont réussi ont désormais une carrière solide.


En 2012, 73 candidats ont réussi ce fameux concours d’entrée à l’école nationale supérieure de la Sécurité Sociale . Ceux qui pensent d’ores et déjà devoir affronter une montagne pour intégrer cette institution doivent garder à l’esprit que l’excellence n’est pas innée, qu’elle germe, se cultive, et s’entretient, les cadres dirigeants seront sans doute d’accord à ce propos.