Si le B to B est méconnu du grand public, il faut avouer qu’il fait partie de ceux porteurs, peu nombreux, qui recrutent et cumulent des chiffres d’affaires positifs. Qui plus est, le secteur voit en 2013 une année tout aussi bénéfique, puisqu’il prévoit de générer 50,000 postes supplémentaires, sans parler de ceux crées en 2011 et 2012.
D’une manière générale, le B to B – business to business – englobe tous les grossistes distributeurs qui fournissent les professionnels . Pour illustrer, il suffit d’imaginer le pharmacien qui reçoit tous les jours les médicaments vendus par la suite aux consommateurs. Cette chaîne est ce que l’on appelle le commerce interentreprises, secteur qui va nécessiter 50,000 postes supplémentaires en 2013.
Avec 700 milliards d’euros de chiffre d’affaires par an, 120,000 entreprises dans l’hexagone et 1 million de salariés , le B to B ne semble pas prêt à s’arrêter en si bon chemin. Ainsi, le secteur a bien l’intention d’accroitre ses capacités, qui plus est, avec l’aide de 50,000 talents porteurs supplémentaires. Dans ce milieu, la mobilité interne n’est pas à l’ordre du jour. Ce sont des postes fraîchement crées en 2013, qui viendront grossir les rangs.
Parmi les talents recherchés dans le secteur, les commerciaux et les logisticiens devraient tenir le haut du pavé dans la hiérarchie bien huilée du B to B. Du côté des premiers, jeunes diplômés comme expérimentés, auront la chance de viser les postes proposés, à hauteur de 42%. Les seconds quant à eux, représentent 35% des 50,000 emplois prévus pour l’année 2013.
Les candidats à l’affut d’un secteur porteur pour l’année 2013 savent désormais vers quel domaine se diriger, à savoir le B to B . Le commerce interentreprises n’a pas fini de faire parler de lui, et semble bien parti pour générer de nouveaux postes dans périodes les à venir. Les professionnels ont toujours besoin de leurs semblables pour satisfaire les consommateurs.
